Départ (2007-07-17)

Le grand départ encore une fois. La dernière fois c'était le Maroc précédé du Gabon. Cette fois-ci, la France m'aicueillera pour une durée intiale de trois mois (vive l'évolution).
Cinq minutes descendus de la bagnole de Mikelina et Sami déjà les surprises commencent. Faisant l'enregistrement de mes bagages, je surprends quelqu'un qui essai de me voler le sac contenant mon ordinateur portable. Deviner quoi ? C'est tante Gisèle qui à eu la magnifique idée de venir me dire aurevoir.(En passant j'ai vraiment apprécié).

Départ officiel de Montréal à 17h35 et poussières. Nous profitons d'une vue splendide en survolant la villeplombé d'un soleil radieux du coté gauche de l'appareil. Avec émerveillement, quelques minutes plus tard, je prends conscience comment le Québec est un immense parc de verdure parsemé de quelques villes éparses essayant tant bien que mal de se lier les unes aux autres par un réseau de veines routières.

Changement de sujet, c'est génial, on m'avait dit que le vin en France est peu coûteux. Vive la France !Eh bien, dans l'avion c'est gratuit !!! Donc vive Corsair la compagnie aérienne qui me transporte. J'en profitelégèrement au cours de mon vol. Je liquiderai 2 bouteilles de 175 centilitre 13 degré d'alcool, je crois. (Merlot,Louis Eschomare du pays d'oc) Faut bien feté mon départ. De plus, j'ai eu droit à de petites boulettes de veau sur lit de riz avec haricots. Kari, j'ai eu deux pains de blé entier, j'en ai mangé qu'un seul et mon désert qui semblait succulent est resté malheureux dans le tréfond de mon cabaret. Je te promets que je vais essayer de faire attention à ma nourriture tout en savourant de temps à autre les plaisirs culinaires du pays de mes ancêtres. Pour le vin, je ne peux rien promettre. Bon ça y ait, tout le monde est au courant de mes promesses.


Bon je me lance à l'eau. Ben non, en fait je survole présentement l'océan Atlantique. (Oups je me rappele pasavoir vu les employés de l'aréopart faire le plein d'essence :). Ah oui, je voulais m'exprimer. C'est avec courage que je prends un défi titanesque pour moi durant ce voyage. Avec un culot sans égal, je vais m'atteler contre pâtisserie, foie gras et camenbert, avec étermination, pleurs etaucune empathie de tout les Français tenter la disparition de 10 livres faisant parti de on corps d'Adonis et celaen trois petits mois. (Bon ce matin à cheval sur mon ennemi la balance le compteur indiquait 206 livres tout habilléinluant les souliers). Qui veut prendre un pari ? (Afficher-le en commentaire)


On appele Paris la ville des lumières, ça tombe bien parce-qu'avec mon arrivé le soleil s'éveillera. Que pensez-vous que ça veut dire ? C'est avec 5533 km et quelques minutes de routes que j'arrive enfin dans Paris. Nous partons moiet Albert le taximan à la recherche de J. Klang pour récupérer mes clés d'appartement. Maintenant le but est de rester réveiller le plus longtemps possible pour le décaage horaire. A plus tard une autre épisode de ce voyages trépidant. En passant les enfants ici il est six heures de plus qu'à Montréal.

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